Exposition « poursuite 3 »

« Ce qu’ils font ne peut s’appeler travailler »

CYNDIE OLIVARES porte une autre forme d’attention sur le corps de la sculpture.
Ses matériaux fragiles, non spécifiques, associés par des rapports internes 
de matérialité très tactiles, très haptiques, sont aussi bien à l’échelle de l’objet, 
de la main que de l’installation. Les gestes sont lisibles, sensibles, et nourrissent
une poétique du lieu et de l’objet : la fragilité (équilibre, tension, suspension)
fait sa force, comme sa capacité de combinaison et de mise en relation, 
thématique et plastique, dans une mémoire prolongée de l’Arte Povera.

Par Christophe DOMINO



Vernissage vendredi 9 décembre.
Du 12 décembre 2011 au 20 janvier 2012 à l’École Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes.

Exposition des diplômés, session 2011.